L'engouement pour les hébergements insolites que ce soit pour un séjour, ou pour en faire son métier est exponentiel. Pour pouvoir l'affirmer, le cabinet Alliances a analysé l'offre et la fréquentation depuis 2011.
Cabinet Alliances's insight:
Le cabinet Alliances en partenariat avec AbracadaRoom vous propose son observatoire de l'hébergement insolite en France
En 2023, Paris remonte sur la 1ère marche du podium en tant que destination leader dans l'accueil des congrès internationaux, suivi par Lyon et Marseille révèle le classement annuel des villes d...
L’association LADAPT, qui agît pour l’insertion sociale et professionnelle des personnes en situation de handicap, a mené une enquête exclusive sur l’accès à la pratique sportive et le handicap.47 % des personnes interrogées déclarent ne pas faire de sport, 78% des personnes en situation de handicap...
Au niveau mondial, le secteur devrait retrouver cette année ses niveaux d’avant-Covid, sous l’effet entre autres d’«une augmentation significative de la demande» et d’«une augmentation du nombre de vols disponibles».
SALLE DE CONFERENCE GABRIEL 03 04 2024 15h40 En annonçant une jauge quotidienne pour limiter sa fréquentation, le Louvre a marqué un changement de paradigme pour les musées. Mais cette préoccupation touche tous les sites touristiques. Développer sa fréquentation, la maîtriser, gérer les flux : la nécessité de concilier l'afflux de visiteurs avec le développement durable et le confort de visite constitue aujourd’hui un enjeu majeur pour les lieux culturels, comme pour les villes-musées ou les sites naturels. Les intervenants de cette table-ronde partageront leurs préoccupations et évoqueront leurs solutions, en confrontant leurs expériences concrètes.
Modération :
Anne-Laure Béatrix, Directrice de Beaux Arts Institute Après des débuts en cabinet ministériel puis en agence de communication, Anne-Laure Béatrix a occupé diverses fonctions au sein du musée du Louvre, à partir de 2010. Successivement directrice de la communication puis directrice des relations extérieures à partir de 2013, elle est promue administratrice générale adjointe du musée en 2018. Elle y a notamment piloté la communication autour de l’ouverture du Louvre Abu Dhabi, ainsi qu’une politique de développement de partenariats innovants, pour valoriser la marque Louvre et diversifier les publics. Elle dirige Beaux Arts Institute depuis 2022.
Intervenants :
Marika Arabi-Onnela, Chargée du tourisme durable au Réseau des Grands Sites de France
Pierre-Emmanuel Lecerf, Administrateur général de l’Établissement public du Musée d'Orsay et du Musée de l'Orangerie Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’ENA (promotion « Aristide Briand »), il a commencé sa carrière à l’Inspection générale des finances en 2008, où il a été chargé de mission auprès du chef du service de l’Inspection générale des finances de 2011 à 2012. Par la suite, il a alterné entre le secteur de la santé et le secteur culturel, d’abord au Centre National du Cinéma et de l’Image animée comme directeur financier et juridique, directeur des affaires européennes et internationales de 2013 à 2017 ; puis au cabinet de la Ministre de la culture de 2017 à 2018, comme conseiller en charge des industries culturelles, des médias, du numérique ainsi que des affaires européennes, avant de devenir directeur adjoint.
Pascale Schuddings, Directrice Europe francophone VISITFLANDERS
En 2000, Pascale Schuddings intègre Tourisme Belgique Flandre et Bruxelles en tant qu’attachée de presse et responsable media. En 2016 elle prend le poste de directrice et devient responsable pour l’Europe francophone et codéveloppe le secteur des Associations internationales à Genève. Elle devient conseillère auprès des villes d’art en Flandre et à Bruxelles en matière de niche-marketing. Vice-présidente de l’Adonet (Association des Offices Nationaux du Tourisme en France), membre du réseau les « Femmes du Tourisme » elle s’engage aux côtés de VISITFLANDERS en tant qu’ambassadrice de Travel to Tomorrow depuis 2018.
Rémy Knafou, Professeur émérite de l’université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne
Professeur émérite de l’université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne, Rémy Knafou a fondé et dirigé la première équipe française de recherche dédiée au tourisme. Il est l’auteur de nombreux travaux sur ce sujet qui font aujourd’hui référence, dont Réinventer (vraiment) le tourisme (Ed. du Faubourg, 2023).
Thomas Velter, Directeur général de l’Etablissement public national du Mont-Saint-Michel
À un peu plus de deux mois des Jeux olympiques, les campings et les auberges de jeunesses parisiens se remplissent vite. Leurs prix attractifs poussent les clients à les choisir plutôt que les hôtels qui ont augmenté leurs tarifs.
Les bureaux d’Atout France (Italie/Grèce, Espagne/Portugal, Autriche/Europe centrale, Israël, Pays du Moyen-Orient) et le Comité Régional de Tourisme Provence-Alpes-Côte d’Azur avec l’Office de Tourisme Provence Méditerranée de Toulon ont organisé, du 17 au 19 novembre 2023 à Toulon, l
Le nouveau Baromètre Raffour-Interactif 2024 "Courts séjours, Vacances, E-tourisme" vient de paraître. Le baromètre Raffour Interactif depuis 22 ans, permet de connaître tous les comportements touristiques des Français grâce au bilan 2023 de leurs séjours de loisir, aux évolutions présentée
A bien des égards, les parcs nationaux américains symbolisent les Etats-Unis, leurs grands espaces et leurs paysages à couper le souffle. Chéris des habitants du pays, ils incarnent aux yeux du monde le mythe américain. Mais le changement climatique menace aujourd'hui l'emblème même de nombreux parcs, qui risquent de se retrouver un jour bien mal nommés. Dans le Parc de Glacier, au coeur du Montana (nord-ouest), l'un des plus admirés, Grinnell, n'est plus que l'ombre de lui-même. Après des heures de marche pour l'atteindre, le randonneur est récompensé par la vue d'eaux bleu pastel, entourées de pans de montagne à pic. Mais si beau soit-il, ce lac symbolise par sa seule présence les ravages du changement climatique. Il y a seulement quelques décennies, on ne trouvait ici que de la glace. Le glacier Grinnell est aujourd'hui retranché dans un creux, à l'abri du soleil, au bord de ce lac formé par sa fonte. Avant d'enfiler ses crampons pour parcourir la surface gelée, le jeune baroudeur Ryan Bergman n'en reste pas moins émerveillé: "Des vues comme celle-là, c'est spectaculaire!" L'étudiant de 22 ans, qui a pris deux mois pour visiter une dizaine de parcs, rêve de revenir avec ses enfants, un jour, sans se douter de l'étendue de la tragédie qui se joue. Le parc a perdu environ 60% de ses glaciers depuis les années 1850. D'ici la fin du siècle, selon les scientifiques, tous devraient avoir disparu. Nouvelle philosophie Les Américains viennent souvent en famille se créer des souvenirs dans ces écrins de nature sauvage. La défense des 63 parcs nationaux est l'un des rares sujets sur lequel tous s'accordent, quel que soit leur bord politique. Avec des dizaines de millions de visiteurs par an, venus du monde entier, ils représentent aussi un enjeu économique pour le secteur touristique. Le gouvernement de Joe Biden a récemment annoncé dédier près de 200 millions de dollars à leur adaptation, via sa grande loi climatique. La première puissance mondiale a les moyens d'essayer de sauver ce qui peut l'être. Mais elle ne peut pas tout. Ce constat provoque une crise d'identité pour l'agence en charge de leur protection, le National Park Service (NPS). Sa mission originelle, inscrite dans une loi de 1916, est de conserver ces joyaux "intacts" pour les "générations futures". Aujourd'hui pourtant, "il est assez clair" que cet objectif "n'est plus réalisable dans beaucoup d'endroits", reconnaît John Gross, écologiste du programme de réponse au changement climatique du NPS. "Il est tout à fait possible que des parcs perdent l'élément emblématique leur ayant donné leur nom." La crise climatique a donc entraîné un véritable changement de philosophie. Modifier Là où la bataille est déjà perdue, des mesures radicales sont désormais employées: il n'est plus tabou de modifier l'état naturel d'un parc pour limiter les dégâts. Sur les bords du lac McDonald, Chris Downs, responsable des ressources aquatiques du Parc de Glacier, raconte l'épopée entreprise pour sauver le Salvelinus Confluentus, une espèce de poisson indigène évoluant dans l'eau froide. En partie privée de la fonte de glace en fin d'été, l'eau des lacs s'est réchauffée, menaçant la survie de l'espèce, explique-t-il. Parallèlement, les poissons sont soumis à la concurrence d'une truite introduite pour la pêche et mieux adaptée aux changements. Le lac McDonald, le plus grand du parc, comptait en 1969 presque cinq fois plus de poissons indigènes que de truites introduites pour la pêche. Cinquante ans plus tard, la tendance s'est inversée. En 2014, la décision est prise de déplacer les Salvelinus Confluentus vers des eaux plus fraîches, en amont, où on ne les avait jamais vus. Des dizaines de poissons sont transportés "dans des sacs à dos" avec des pains de glace vers leur "refuge", se souvient Chris Downs. Des milliers d'autres, issus d'élevages, seront transférés par hélicoptère les années suivantes. "Ils grandissent très bien" dans leur nouveau lac, se félicite le biologiste. Les sceptiques critiquent une manipulation de la nature. Lui oppose une "nécessité". Cette même nécessité conduit le parc à mener des analyses ADN pour replanter, plus haut dans la montagne, des pins à écorce blanche menacés, en sélectionnant les plus résistants à la sécheresse. Résister Selon une étude de 2018, les parcs nationaux se réchauffent deux fois plus vite que le reste du pays car ils sont essentiellement situés en Alaska ou en haute montagne, des zones plus sensibles au réchauffement planétaire. "Des transformations importantes liées au changement climatique anthropique" sont observées, souligne John Gross. Dans le Parc national des Dunes dans l'Indiana (nord-est), des plages sont submergées, des dunes s'affaissent. Contrairement aux glaciers condamnés, ici on résiste encore: chaque année, on remblaie un site abimé de cette aire protégée qui s'étire sur la rive sud de l'immense lac Michigan. En ce jour de novembre, la bataille contre l'érosion est symbolisée par les allers-retours de deux gros camions pelleteuses. Quelque 80.000 tonnes de sable, excavées d'une carrière, viennent reconstruire la plage située au pied de la dune la plus célèbre du parc, mont Baldy, très fréquentée l'été par les habitants de la région de Chicago. "Le but est de conserver la plage comme elle a toujours été" afin de préserver le rivage et la dune derrière, explique à l'AFP Thomas Kanies, responsable du projet pour le Corps du génie de l'armée. Ce parc a la particularité d'être entouré d'industries (aciéries et même centrale à charbon) tout en abritant une incroyable biodiversité. La proximité du port industriel de Michigan City est le principal coupable de l'érosion, explique M. Kanies, car la jetée bloque la circulation du sable le long de la côte. La situation restait gérable jusqu'ici, mais le réchauffement climatique est venu "complètement changer la donne", dit à l'AFP Erin Argyilan, géologue au NPS. "Pansement" La glace qui se forme normalement sur le lac en hiver "est la première ligne de défense pour protéger les dunes des grosses vagues", explique l'experte. "Le gros problème est que les tempêtes commencent fin octobre et que la glace n'arrive plus avant fin décembre", détaille-t-elle, devant une dune partiellement emportée. D'autres facteurs jouent, comme l'eau plus chaude du lac en hiver, qui alimente des tempêtes plus fortes. Ou le ruissellement de pluies devenues plus intenses. Un dernier phénomène intrigue la chercheuse: en gelant et dégelant plus fréquemment, des morceaux de dunes finissent par s'effondrer. "Notre but est de minimiser l'impact autant que possible", poursuit Mme Argyilan tout en concédant que l'apport de sable par camions n'est qu'un "pansement" temporaire. Des solutions plus invasives ont été employées. En 2020, l'eau du lac, qui atteint son pic tous les trente ans, est au plus haut et de violentes tempêtes sévissent. Dans l'un des villages qui parsèment le parc, des maisons menacent de s'écrouler. Les habitants érigent alors de gigantesques blocs de roche pour les protéger de l'érosion. 1 Problème: cette digue empêche à son tour au sable de parvenir plus loin jusqu'aux dunes. Un projet des riverains visant à l'étendre est aujourd'hui combattu par des militants. "On ne peut pas détruire la plage simplement pour sauver quelques maisons", dit Betsy Maher, de l'association Save the Dunes, illustrant le cruel dilemme posé ici par le changement climatique: protéger la nature ou les humains. Tâche titanesque A l'autre bout du pays, dans le Parc national de Saguaro, les quelque deux millions de cactus du même nom - les plus grands des Etats-Unis - forment par endroits comme une forêt, bras pointés vers le ciel. Ici, les changements ne sont pas encore perceptibles. 2 Mais derrière leur apparente bonne santé, ces cactus emblèmes de l'Arizona et pourtant adaptés aux milieux ultra-arides, sont menacés par une sécheresse qui dure depuis une trentaine d'années. En 2020, puis de nouveau l'année dernière, une extrêmement faible quantité de pluie est tombée l'été, période normalement de mousson. Pendant ce temps, une plante a colonisé le parc, susceptible d'alimenter des incendies dévastateurs pour les saguaros, comme en 1994 et 1999. L'intrus est une herbe envahissante, le Cenchrus ciliaris, originaire d'Afrique et introduite dans le pays pour servir de fourrage. 3 Cette espèce, qui recouvre les flancs de montagne en touffes jaune paille, "est très sèche la majorité de l'année et peut prendre feu rapidement et facilement", souligne Frankie Foley, biologiste pour le parc. Tous les week-ends, des bénévoles se retrouvent sous sa direction pour désherber. Armés de pelles-pioches, ils arrachent à tour de bras. Une tâche titanesque vu l'immensité du parc. Long terme La sécheresse est devenue si intense ici que les saguaros ont du mal à se renouveler. 4 Jeunes, ces cactus ne peuvent pas stocker beaucoup d'eau car ils grandissent très lentement -- à 15 ans, ils ne font qu'une dizaine de centimètres. Résultat, "depuis le milieu des années 1990, nous voyons très peu de jeunes saguaros survivre", s'inquiète le biologiste Don Swann. Cette tendance suit la courbe de la sécheresse, précise-t-il, équipé d'un mètre pour mesurer un bébé saguaro, dont il ne trouve un spécimen qu'après dix minutes de recherches. Pour le moment, le problème est invisible, du fait de la longévité des vieux cactus encore sur pied, qui peuvent vivre environ 200 ans. 5 Mais selon un recensement décennal, en 2020, le nombre de saguaros n'était qu'un tout petit peu plus élevé qu'en 2010 et Don Swann s'attend à ce qu'il baisse en 2030. "La grosse inquiétude que nous avons sur le long terme, si nous ne voyons pas arriver davantage de jeunes, (...) c'est qu'à un moment nous n'ayons plus de saguaros dans le Parc national de Saguaro." Electrochoc La perte de ces cactus, comme déjà celle des glaciers, aurait un impact tant environnemental que culturel. 6 Les Amérindiens de la tribu Tohono O'odham considèrent les saguaros comme leurs ancêtres. De leurs fruits, ils font un sirop pour les cérémonies. Dans le Montana, pour la nation Blackfeet, les glaciers sont "sacrés". "Nous avons été placés ici grâce à cette eau", dit sa responsable du changement climatique, Termaine Edmo. Sous l'impulsion de cette femme engagée, là où les terres s'assèchent au pied des montagnes, des clôtures en bois sont installées pour retenir la neige, des barrages imitant ceux des castors construits dans les rivières. 7 Eloquemment, le nom amérindien de l'une de ses filles signifie "glacier". "Elle me demande tout le temps, maman, que se passera-t-il s'il n'y a plus de neige en haut des montagnes? Est-ce que mon nom changera?" raconte cette mère de 35 ans. "Je lui réponds, +non, mon ange, on s'adaptera, comme nos ancêtres l'ont fait+." Ces disparitions pourraient-elles servir d'électrochoc pour des Américains, encore largement désintéressés par la cause climatique? Les parcs nationaux sont "des salles de classe naturelles" permettant de "constater les conséquences du changement climatique", acquiesce Wylie Carr du bureau du NPS. 8 Le long des sentiers, les pancartes se multiplient. "Combien de glaciers pour les prochaines générations?" interroge l'une d'elles. Avec l'espoir que cette sensibilisation se transforme, chez chaque visiteur, en conviction - puis en action.
Nicolas Dayot, gestionnaire de deux campings bretons, est président de la Fédération nationale de l’hôtellerie de plein air. En ce début mai, il est résolument optimiste pour la saison qui débute.
Localtis : Selon les résultats d’une enquête sur la pratique cyclable en 2023 dévoilés par le ministère délégué chargé des transports ce 14 mai, 37% des Français affirment faire du vélo au moins une fois par mois. Alors que l'opération "Mai à vélo" se déroule jusqu'à la fin du mois pour encourager la pratique de la petite reine, la marge de progression reste encore importante pour se hisser au niveau de l'Allemagne, par exemple, qui compte chaque mois 59% d'adeptes de cette mobilité douce.
En rétrospective : 2023, une année exceptionnelle pour le tourisme français ! Article Publié le 15/05/2024 Lecture : 1 minute A+ A- Atout France a réalisé le portrait touristique de 2023, une année marquée par une résilience remarquable et une reprise soutenue, en dépit des défis économiques et...
Selon l’étude d’impact de la Coupe du Monde de Rugby 2023 qui vient d’être réalisée par EY, l'évènement a généré 1,8 milliard d’euros de dépenses totales,...
(AOF) - La France, première destination touristique mondiale, figure à la quatrième place de l'indice de développement du tourisme et du voyage (TTDI) 2024, un index réalisé par le Forum économique mondial (WEF), et dont la dernière édition a été publiée ce mardi. "Introduit pour la prem
La planification écologique consiste en une méthode globale, qui permet d’agir de façon coordonnée et de relever les défis majeurs de la transition écologique. Dans une circulaire du 29 septembre 2023, Élisabeth Borne a demandé aux préfets d’organiser les modalités de déclinaison territoriale de cette planification, par le lancement de conférences des parties régionales et par la nouvelle génération de CRTE. La territorialisation induit la prise en compte pour chaque territoire d’objectifs consistant à réduire les émissions de gaz de serre. Le projet, d’ampleur nationale, suggère la mobilisation et le déploiement de la planification, qui doit en premier lieu avoir lieu dans les collectivités territoriales.
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Célèbre et spectaculaire, la route 40 parcourt l’Argentine du nord au sud. Une aventure longue de 5.200 km, de la frontière bolivienne à la Patagonie, qui emmène à la découverte de parcs nationaux e...
Début de saison réussi pour les campings du Doubs. Ce dimanche 12 mai marquait la fin du long week-end de l'Ascension et beaucoup d'établissements affichaient complet. En grande partie grâce aux vacanciers suisses, qui n'ont...
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